Tant d'entre nous en ont parlé,
Y-a-t-il quelque chose à ajouter ?
Je vais lui dire à ma manière :
Mer , tu m'es très chère
Ma préférée c' est l'Atlantique
Ses vents, ses marées me grisent
Ses vagues s'étalent sur la sable chaud
Où vous les rattraper au delà des bouchots
Le jour se lève sur la gréve, on est bien
J'entends sonner l'Angélus du clocher voisin
La Mer est toute en fête, et l 'horizon lointain
Jettent des reflets d'or au soleil du matin
Dans les plis onduleux, au gré des vents qui passent
Comme des fleurs d'argent qu'elle sème dans l'espace
L'écume clapote, éclabousse et disparait
Une impression de songe ou la réalité ?
Accordez -vous des moments de farniente
Laissez-vous bercer par la Mer immense
Restez adeptes à cette mélancolie
Juste une brise pour larguer nos soucis
Le calme des dunes , les soirs d'été
Plonge les promeneurs dans un havre de paix
Veilleuse solitaire, Phare sur marins attardés
Tandis que dans ses bras de la côte éloignée
Mille lumières étincèlent, fenêtres de festivités
Sur la plage, le règne du calme, la Mer s'est assoupie
Il se fait tard , mes yeux réclament ,je dois aller lanterner
M'aliter , que nenni, jusqu'au matin, je reste , j'ai envie
Que l'Océan de ses perles d'embruns m'éveille, et si j'osais...
Y-a-t-il quelque chose à ajouter ?
Je vais lui dire à ma manière :
Mer , tu m'es très chère
Ma préférée c' est l'Atlantique
Ses vents, ses marées me grisent
Ses vagues s'étalent sur la sable chaud
Où vous les rattraper au delà des bouchots
Le jour se lève sur la gréve, on est bien
J'entends sonner l'Angélus du clocher voisin
La Mer est toute en fête, et l 'horizon lointain
Jettent des reflets d'or au soleil du matin
Dans les plis onduleux, au gré des vents qui passent
Comme des fleurs d'argent qu'elle sème dans l'espace
L'écume clapote, éclabousse et disparait
Une impression de songe ou la réalité ?
Accordez -vous des moments de farniente
Laissez-vous bercer par la Mer immense
Restez adeptes à cette mélancolie
Juste une brise pour larguer nos soucis
Le calme des dunes , les soirs d'été
Plonge les promeneurs dans un havre de paix
Veilleuse solitaire, Phare sur marins attardés
Tandis que dans ses bras de la côte éloignée
Mille lumières étincèlent, fenêtres de festivités
Sur la plage, le règne du calme, la Mer s'est assoupie
Il se fait tard , mes yeux réclament ,je dois aller lanterner
M'aliter , que nenni, jusqu'au matin, je reste , j'ai envie
Que l'Océan de ses perles d'embruns m'éveille, et si j'osais...